• Reissing, Elke D. Ph.D., C.Psych.

  

  Professeur Titulaire, École de psychologie
  Directrice du Laboratoire de recherche sur la sexualité humaine
  
  Pièce : Université d'Ottawa, Pavillon Vanier, 4010
  Bureau : 613-562-5800 poste 4944
  Courriel professionnel : Elke.Reissing@uOttawa.ca
  Fax : 613-562-5169

  • UNIWeb - Profil et publications 

   

  Je suis professeure de psychologie à l'Université d'Ottawa et superviseure clinique du Centre de services psychologiques. J'ai aussi une pratique privée en psychologie clinique dans la région d'Ottawa/Gatineau.

  Je détiens un doctorat en psychologie clinique de l'Université McGill en 2002 et j’ai rejoint l'École de Psychologie de l'Université d'Ottawa. Je suis membre de l'Ordre des psychologues de l'Ontario et de nombreux organismes nationaux et internationaux, scientifiques et cliniques (ex., IASR, ISSWSH, NVA, CPA, CSRF, SSTAR, etc.). Je suis sur le conseil de rédaction du Journal of Sexual Medicine, Canadian Journal of Human Sexuality, Canadian Journal of Behavioural et je suis éditeur consultante pour les Archives of Sexual Behavior.

  Recherche

  Mes intérêts de recherche sont notamment l'enquête sur les causes et les facteurs de conservation de la douleur associée à l'activité sexuelle et le diagnostic de vaginisme. Je suis aussi intéressée à la manière dont le vieillissement affecte la sexualité. De plus, nous avons d'autres projets intéressants qui ont été réalisées ou qui sont en cours dans le HSRL. Renseignements au sujet des autres études et intérêts de recherche. Mon programme de recherche est soutenu par un financement du Conseil de recherches en sciences humaines et est approuvé par le comité d'éthique de l'Université d'Ottawa. J'ai publié les résultats de mes recherches en Amérique du Nord et en Europe et j'ai présenté mes travaux scientifiques à de nombreuses conférences nationales et internationales. Voir une sélection de mes publications sur mon profil UNIWeb (lien en haut).

  En 2006 j'ai reçue le Prix du Nouveau Chercheur de la société canadienne de psychologie.

  Pratique clinique

  Je suis psychologue clinicienne agréé par l'Ordre des psychologues de l'Ontario. Dans la pratique privée, je fournis des services principalement pour des personnes ayant des problèmes de douleur sexuelle ou de douleur chronique. Au Centre des services psychologiques et de recherche, je supervise des étudiants de doctorat en psychologie clinique et la thérapie de sèxe.

  Enseignement

  À l'École de psychologie, j'enseigne plusieurscours de troisième cycle portant sur la thérapie de sexe, les compétences cliniques de base, et la thérapie cognitive comportementale chez les adultes. J'enseigne également le cours de la Sexualité chez les humaines de premier cycle à l'Université d'Ottawa.

• Gravel, Emilie

  

  Courriel professionnel : egrav037@uOttawa.ca
  

  Je suis présentement en quatrième année au programme de Doctorat en Psychologie Expérimentale à l’Université d’Ottawa. J’ai reçu mon BA avec Honneurs en Psychologie à l’Université d’Ottawa. Pour ma thèse d’Honneurs,  j’ai travaillé avec le Dr Marta Young dans le laboratoire de Psychologie Interculturelle et j’ai examiné l’effet de la culture, la famille, et la religion sur les attitudes, les affects et les comportements sexuels d’adultes émergents franco-canadiens. Ma collaboration aves le laboratoire du Dr Young m’a aussi donné l’opportunité de travailler sur plusieurs projets où nous avons examiné la détermination culturelle de la sexualité auprès de cinq groupes ethniques canadiens.

  Pour mon programme de recherche doctoral, j’examinerai comment la théorie de l’auto-détermination peut nous permettre de mieux comprendre le bien-être sexuel. Plus précisément, je veux comprendre si nos motifs sexuels sont de nature plus intrinsèques lorsque nos besoins psychologiques d’autonomie, de compétence et d’affiliation sont comblés, et en retour, si avoir des motifs sexuels plus intrinsèques promeuvent le bien-être sexuel. Par exemple, est-ce que les trois besoins psychologiques prédisent nos motifs sexuels avec la même manière ou est-ce que certain besoins sont plus importants que d’autres. Si tel est le cas, pour qui et dans quelles circonstances? Est-ce que les femmes et les hommes ont la même propension à être autodéterminés dans leurs motifs sexuels ou diffèrent-ils en raison d’une socialisation sexuelle différente? Avons des expériences sexuelles plus satisfaisantes lorsque nos besoins psychologiques sont comblés et si nos motifs sexuels sont plus autodéterminés?

  Ma passion pour la pédagogie m’a également motivé à enseigner depuis 2010 un cours sur la psychologie du genre à des étudiants du secondaire de la région d’Ottawa-Gatineau. Par l’entremise de lectures, d’activités, et beaucoup d’activités, nous examinons l’interaction complexe des processus biologiques, psychologiques et sociaux qui sous-tendent la détermination du genre et comment avoir un genre façonne notre expérience en tant qu’être humain, de notre personnalité à notre santé, et bien sûr notre sexualité! J’ai aussi été assistante à l’enseignement pour les cours de Psychologie Interculturelle (PSY 3526), le Comportement Sexuel Humain (PSY 3522), Thèmes Approfondis en Sexualité Humaine (PSY 4522), la Psychologie des Femmes (PSY 3521) et Méthodes de Recherche et Éthique. J’ai également été conférencière invitée dans les cours de Psychologie des Femmes, le Comportement Sexuel Humain, et Méthodes Quantitatives en PsychologieI.

  J’attache beaucoup d’importance à la communauté de l’Université d’Ottawa et c’est pour cette raison que je m’implique au sein des associations étudiantes et que je participe activement dans les comités administratifs. J’ai été membre du Bureau de Direction de l’Association des Étudiants Diplômés de l’Université d’Ottawa (GSAÉD), représentante étudiante au Conseil de la Faculté des Sciences Sociales et au Comité des Études de Baccalauréat de l’École de Psychologie. En 2011-2012, j’ai présidé le comité organisateur de la conférence La Psychologie Hors des Sentiers Battus, une conférence étudiante nationale interdisciplinaire. Cette année, je suis représentante des Étudiants en Psychologie Expérimentale pour l’Association des Étudiants Diplômés en Psychologie de l’Université d’Ottawa (GASP).

  Je suis membre du Conseil Canadien d’Information et d’Éducation Sexuelles (Sex Information and Education Council of Canada), le Forum Canadien de Recherche sur la Sexualité (Canadian Sex Research Forum), et l’Académie Internationale de Recherche sur la Sexualité (Internaitonal Academy of Sex Research).

  Courriel: egrav037@uOttawa.ca

  Publications

  Gravel, E. E., Young, M., Olavarria-Turner, & Lee, A. M. S. Ethnic differences in sexual guilt between Anglo-Canadians and Franco-Québécois emerging adults: The mediating roles of family and religion (2011). Canadian Journal of Human Sexuality, 20, 129-142.

  Présentations à des Colloques

  Gravel, E.E., Young, M., Lee, A. M.-S., Olavarria, M., & Darzi, C. (2012, septembre). Family and Religion: Underlying Mechanisms Behind Ethnic Differences in Sexual Guilt Between Anglo-Canadians and Chinese-Canadians. Affiche presentée à la 39ième  conférence annuelle du Canadian Sex Research Forum, Ottawa, ON.

  Gravel, E.E., Young, M. Lee, A. M.-S., Olavarria, M., & Darzi, C. (2012, juillet). The Impact of Religiosity on HIV and STI knowledge: Is Sexual Guilt a Mediator? Affiche pésentée at the 37th annual meeting of the International Academy of Sex Research, Estoril, Portugal.

  Darzi, C., Young, M., Gravel., E., Lee, A.M-S., et Olavarria, M. (2012, juin). The Impact of Family on Sexual Attitudes and Behaviors of Second Generation South Asian-Canadians. Affiche pésentée à la 73ième conférence de l’Association de Psychologie Canadienne, Halifax, NÉ.

  Lee, A., Young, M., et Gravel, E. (2012, juin). Determinants of Sexual Knowledge Among Second Generation Chinese-Canadians: The Role of Culture and Sexual Attitudes. Affiche pésentée à la 73ième conférence de l’Association de Psychologie Canadienne, Halifax, NÉ.

  Gravel, E., Young, M., Lee, A.M.S., & Olavarria, M. (2011, juin). Guilty or not Guilty? The Influence of Gender, Parental Sexual Attitudes and Religiosity on Sexual Guilt in Anglo-Canadians, Franco-Ontarians, and Franco-Québécois Emerging Adults. Affiche pésentée à la 20ième conférence régionale de l’International Association for Cross-Cultural Psychology, Istanbul, Turquie.

  Lee, A. M.S., Young, M., & Gravel, E. (2011, juin). Sexuality among Chinese Canadians, South Asian Canadians, and Anglo- Canadians: Do Family and Culture Matter? Affiche pésentée à la 20ième conférence régionale de l’International Association for Cross-Cultural Psychology, Istanbul, Turquie.

  Young, M., Gravel, E., Olivarria, M., & Lee, A.M.S. (2011, juin). L’Impact de la Culture, la Famille et la Religion sur la Culpabilité Sexuelle  des Franco- Canadiens. Affiche pésentée à la  72ième conférence annuelle de l’Association de Psychologie Canadienne, Toronto, ON.

  Lee, A.M.S., Young, M., Olivarria, M., & Gravel, E. (2011, juin). Subjective Well-Being Among Second Generation Chinese- Canadians: Does Family and Culture Matter? Affiche pésentée à la  72ième conférence annuelle de l’Association de Psychologie Canadienne, Toronto, ON.

  Young, M., Lee, A., Olavarria, M., Gravel, E., & Cloutier, M. (2009, juin). Contextualizing Canadian Sexualities Through Culture and Family: A Comparison Between Anglo-Canadians, Franco-Ontarians and Franco-Québécois. Affiche présentée à la 70ième conférence annuelle de l’Association de Psychologie Canadienne, Montréal, QC.

• Priede, Angela

  

  Je suis présentement une étudiante de première année dans le doctorat clinique en psychologie à l’Université d’Ottawa. J’ai complété mon baccalauréat avec thèse d’honneur en psychologie à l’Université St. Thomas de Fredericton au Nouveau-Brunswick. Pour ma thèse d’honneur, je me suis concentrée sur l’expérience des femmes qui prétendent un plaisir sexuel qu’elles ne ressentent pas. Plus spécifiquement, cette recherche a employé des mesures qualitatives pour explorer les façons que ces femmes utilisaient pour feindre un orgasme lors de relations sexuelles consentantes avec un partenaire.

  Alors que mes intérêts de recherche dans le domaine de la sexualité humaine sont vastes, je m’intéresse particulièrement à l’étude de la sexualité chez les personnes en fin de vie. Des champs d’intérêts plus spécifiques sont des facteurs psychologiques, sociaux, culturels et relationnels qui influencent le fonctionnement sexuel et la diversité sexuelle  des personnes plus âgées, ainsi que les barrières institutionnelles de la sexualité en fin de vie et l’influence des mythes et attitudes sexuelles sur les expériences sexuelles subjectives.

  À ce jour, j’ai travaillé comme assistante professeure pour les cours d’introduction à la psychologie, de psychologie anormale, des modèles de psychothérapies et le cours de séminaire de femmes et problèmes de santé mentale. J’ai aussi travaillé comme assistante de recherche, sous la direction du Chaires de recherche du Canada avec de la recherche qualitative s’intéressant aux expériences de vies de femmes veuves âgées.

   

  Priede, A., Bouaziz, R., Darzi, C., & Reissing, E. (2014, October). Institutional Policies and Practices Regarding Aging Residents’ Sexual Expression in Long-term Care: Staff Perceptions. Poster presented at the Canadian Sex Research Forum, Kingston, Ontario.

  Priede, A., Stelzl, M., & Lafrance, M. (2013, October). Counterfeiting Orgasm: Women’s Experiences of Pretending Sexual Pleasure. Poster presentation presented at the Canadian Sex Research Forum, Charlottetown, Prince Edward Island.

  Priede, A. (2013, May). He came, She feigned. Paper presented at the Science Atlantic Psychology Conference,St. Mary’s University, Halifax, N.S.

• Rogic, Anna

  Étudiante en doctorat

  B.A., M.A.

  Bureau : 613-562-5800 poste 2220

  Anna Rogic est une étudiante diplômée du programme combiné MA/PHD en psychologie clinique de l'École de psychologie de l'Université d'Ottawa. Elle est membre du Laboratoire de recherche sur la sexualité humaine. Ses recherches portent sur les femmes qui sont incapables d'avoir des relations sexuelles vaginales. Plus précisément, elle étudie les changements dans les étiquettes diagnostiques formelles et la compréhension du « vaginisme » par le grand public. Spécifiquement, elle étudie cette question via Netnography. De plus, la recherche d'Anna se concentre sur l'accès au traitement du vaginisme et interroge l'efficacité relative de diverses interventions.

• Webb, Amy

  

  613-562-5800 poste 2220

  Je suis étudiante de première année dans le programme combiné de maîtrise et de doctorat en psychologie clinique à l’Université d’Ottawa. Je possède un baccalauréat en kinésiologie de l’Université du Nouveau-Brunswick à Fredericton. En outre, je détiens un certificat d’équivalence pour le baccalauréat spécialisé en psychologie de l’Université Saint Mary’s à Halifax, en Nouvelle-Écosse. Pour ma thèse de spécialisation, j’ai étudié les interactions dans la mémoire des trois éléments formant la connaissance des mots (sémantique, orthographe et prononciation), en examinant les effets sémantiques dans la lecture et l’écriture chez les enfants. Bien que la littératie ne soit pas mon champ d’intérêt principal en psychologie, ma thèse et mes projets de recherche dirigée m’ont amenée à me pencher davantage sur la conception de la recherche.

  Ma formation en psychologie repose sur des perspectives évolutionnistes. Mes autres projets de recherche dirigée portaient sur les stratégies d’accouplement et la théorie darwinienne de l’esthétique. Je m’intéresse de manière générale à la recherche sur la sexualité humaine, y compris des sujets comme la psychopathologie, la santé, et la dynamique des relations sexuelles et amoureuses. En 2015-2016, j’ai le bonheur d’utiliser ma formation éclectique en kinésiologie et en psychologie évolutionniste pour établir un champ d’études qui s’inscrit dans le cadre de l’étude de la sexualité humaine, et qui me permettra de poursuivre ma recherche doctorale pendant les prochaines années.

• Armstrong, Heather

  

  Courriel professionnel : heather.armstrong@uOttawa.ca

  Dr. Armstrong est une associée de recherche au laboratoire de recherche sur la sexualité humaine. Elle travaille aussi comme professeure à temps partiel à l’Université d’Ottawa. En 2006, elle a terminé son baccalauréat ès arts en psychologie et études crtiques de la sexualité à l’Université de la Colombie-Britannique. En 2014, elle a obtenu un doctorat en psychologie expérimentale. Elle a complété un stage postdoctoral aux Centers for Disease Control and Prevention à Atlanta, en Georgia.

  Les intérêts de recherche de Dr. Armstrong incluent les motivations derrière l’activité sexuelle, la santé et le bienêtre des minorités sexuelles; elle se penche aussi sur les individus de ces groupes minoritaires sexuels.

  Elle enseign Human Sexuality (PSY 3122) et Social Motivation (PSY 3109) à l’Université d’Ottawa. Auparavant, elle enseignait Introduction to Applied Psychology (PSY 1102).

  Publications

  Publications - Processus d'évaluation par les pairs

  Armstrong, H. L., & Reissing, E.D. (2015). Women’s motivations to have sex in casual and committed relationships with male and female partners. The Archives of Sexual Behavior. doi: 10.1007/s10508-014-0462-4

  Armstrong, H. L., & Reissing, E.D. (2014). Factor reliability analyses of the YSEX? in a sample of women with same-sex attraction. Sexual and Relationship Therapy, 29(3), 339-350.doi:10.1080/14681994.2014.920084

  Armstrong, H. L., & Reissing, E.D. (2014). Attitudes toward casual sex, dating, and committed relationships with bisexual partners. Journal of Bisexuality, 14(2), 236-264. doi:10.1080/15299716.2014.902784

  Armstrong, H. L., & Reissing, E.D. (2013). Women who have sex with women: A comprehensive review of the literature and conceptual model of sexual function. Sexual and Relationship Therapy, 28(4), 364-399. doi:10.1080/14681994.2013.807912

  Reissing, E. D., Armstrong, H. L., & Allen, C. (2013). Pelvic floor physical therapy for lifelong vaginismus: A retrospective chart review and interview study. Journal of Sex & Marital Therapy, 39(4), 306-320. doi:10.1080/0092623X.2012.697535

  Reissing, E. D., Andruff (Armstrong), H. L., & Wentland, J. J. (2012). Looking back: The experience of first sexual intercourse and current sexual adjustment in young heterosexual adults. The Journal of Sex Research, 49(1), 27-35. doi:10.1080/00224499.2010.538951 

  MacIntosh, H., Reissing, E. D., & Andruff (Armstrong), H. L. (2010). Same-sex marriage in Canada: The impact of legal marriage on the first cohort of gay and lesbian Canadians to wed. The Canadian Journal of Human Sexuality, 19(3), 79-90. 

  Andruff (Armstrong), H., Carraro, N., Thompson, A., Gaudreau, P., & Louvet, B. (2009). Latent class growth modelling: A tutorial. Tutorials in Quantitative Methods for Psychology, 5(1), 11-24.

   

  Reissing, E. D., & Armstrong, H. L. (2014). Theoretical approaches to studying human sexuality. In C. F. Pukall (Ed.), Human Sexuality. Don Mills, ON: Oxford University Press.

  Reissing, E. D., & Armstrong, H. L. (2014). Sexuality over the life span. In C. F. Pukall (Ed.), Human Sexuality. Don Mills, ON: Oxford University Press.

  Armstrong, H. L., & Reissing, E. D. (2014). Same-sex marriage in Canada. In A. C. Michalos (Ed.). Encyclopedia of quality of life and well-being research (5634-5637). Dordrecht, Netherlands: Springer.

  Armstrong, H. L., & Michalak, E. E. (2014). Mood disorders and sexuality. In A. C. Michalos (Ed.). Encyclopedia of quality of life and well-being research (4120-4124). Dordrecht, Netherlands: Springer.

  Armstrong, H. L., Michalak, E. E., & Murray, G. W. (2014). Bipolar disorder. In A. C. Michalos (Ed.). Encyclopedia of quality of life and well-being research (408-412).    Dordrecht, Netherlands: Springer.

  Armstrong, H. L. Bipolar disorder. In D. H. Erickson (Ed.), Building Capacity for Psychotherapy in British Columbia: A Guiding Document. Unpublished report submitted to B.C. Ministry of Health, Mental Health & Substance Use Branch, November, 2013.

  Armstrong, H. L., & Reissing, E.D. (2012). Chronic vulvo-vaginal pain in lesbian, bisexual and other sexual minority women. The Journal of Sexual Medicine, 9(s3), 166-167. doi:10.1111/j.1743-6109.2012.02758.x

• Wentland, Jocelyn

  

  Courriel professionnel : jocelyn.wentland@uOttawa.ca

  Jusqu’à présent, mon projet de recherche a été axé sur les divers facteurs qui interviennent dans la formation d’une relation amoureuse, notamment les tendances actuelles en matière de relations (One Night Stand, Booty Call, F*ck Buddies, Friends with Benefits), les femmes qui sont particulièrement sexuelles, ainsi que l’influence de la technologie sur les rencontres (par exemple, en ce qui concerne les nouvelles manières de faire connaissance ou l’évolution d’une relation selon que celle-ci soit née en ligne ou non). 

  Je suis actuellement professeur adjointe en psychologie à l’Université de la Colombie-Britannique Okanagan, à Kelowna. Je continue à encadrer le groupe de recherche sur la sexualité et les relations amoureuses, à l’Université d’Ottawa. Nous étudions en ce moment l’incidence que le premier contact sexuel entre deux personnes a sur l’évolution de leur relation, selon que cette dernière a commencé en ligne ou non.

  Je possède un doctorat en psychologie expérimentale, obtenu en 2014 à l’Université d’Ottawa. Ma thèse s’intitule Not-so-casual sex: Definitions and scripts for modern sexual relationships (Des rapports pas forcément occasionnels : les nouvelles formes de relations amoureuses). Avant cela, j’ai fait un baccalauréat spécialisé en psychologie à l’Université de la Colombie-Britannique Okanagan, où j’ai examiné les raisons qui poussent certaines femmes à rechercher des relations sexuelles sans engagement, puis une maîtrise en sciences à l’Université de Guelph, où j’ai étudié les concepts qui distinguent les femmes très sexuelles de celles qui le sont moins. J’ai aussi donné les cours suivants (en anglais) à l’École de psychologie de l’Université d’Ottawa : PSY3102 (relations interpersonnelles), PSY3105 (psychologie des adolescents), PSY3122 (comportement sexuel humain) et PSY4122 (études avancées en sexualité humaine). 

  Je suis également membre des organismes suivants : le Forum canadien de recherche sur la sexualité[MA4] ; le Sex Information and Education Council of Canada (SIECCAN) [Conseil du Canada d’information et d’éducation sexuelles]; et la International Academy of Sex Research (Académie internationale de recherche sur la sexualité). J’aime discuter avec toutes sortes de personnes de thèmes se rapportant aux relations amoureuses et à la sexualité. J’ai même fait une présentation à la radio concernant la passionnante recherche des quatre dernières années à ce sujet, lors d’un bref segment sur LiVE 885 FM.

  Si votre organisme ou votre groupe envisage de donner une conférence à laquelle vous aimeriez que je participe, n’hésitez pas à communiquer avec moi à jocelyn.wentland@uOttawa.ca.

  Pour plus de renseignements, je vous invite à consulter mes pages Sexcellente ou Sexresearchandthecity (en anglais).

• Cherner, Rebecca

  

  Je suis diplômée de l'Université McGill, récipiendaire d'un baccalauréat en science avec spécialisation en psychologie (2003). En septembre 2003, j'ai accepté le poste de coordonnatrice au Laboratoire de recherche sur la sexualité humaine à l'Université d'Ottawa. J'ai collaboré dans une étude qui explorait la volonté de la part des clients de dévoiler des problèmes de nature sexuelle lors de consultations psychologiques, de même que la prévalence de dysfonction sexuelle chez les clients qui se présentent pour ces services à une clinique de psychologie communautaire.

  J'ai complété un doctorat en psychologie clinique à l'Université d'Ottawa, en 2012. Ma recherche de thèse examinait les réponses physiologiques et émotionnelles aux stimuli sexuels des femmes avec le vaginisme ou la douleur sexuelle. J'ai aussi exploré les fonctions sexuelles, le comportement et la cognition des femmes ayant un vaginisme perpétuel. Je suis aussi intéressée à explorer le rôle des craintes et de l'anxiété dans le développement et le maintien du vaginisme. 

  En plus de la recherche sur la santé sexuelle, depuis 2008, j'ai été impliquée dans l'évaluation de programme à travers le Centre de recherche sur les services éducatifs et communautaires (CRSEC), de l'Université d'Ottawa. Je suis présentement une associée de recherche au CRSEC, et je continue de faire des programmes d'évaluations ainsi que de la recherche sur les sans-abri.

  Publications

  Cherner, R., Aubry, T., & Ecker, J. (accepted). Predictors of the physical and psychological integration of homeless adults with problematic substance use. Journal of Community Psychology.

  Aubry, T., Cherner, R., Ecker, J., Jetté, J., Rae, J., Yamin, S., Sylvestre, J., Bourque, J., & McWilliams, N. (2015). Perceptions of private market landlords who rent to tenants of a Housing First program. American Journal of Community Psychology, 55(3-4). doi: 10.1007/s10464-015-9714-2

  Jetté, J., Aubry, T., Cherner, R., Ecker J., Yamin, S., & Bourque, J. (2014). La mise en œuvre d’une intervention Logement d’abord en région rurale canadienne. Canadian Journal of Community Mental Health, 33(4), 41-59. doi: 10.7870/cjcmh-2014-029

  Ecker, J., Aubry, T., Cherner, R., & Jetté, J. (2014).  Implementation evaluation of a Housing First program in a small Canadian city. Canadian Journal of Community Mental Health, 33(4), 23-40.doi:10.7870/cjcmh-2014-028

  Cherner, R., Olavarria, M., Young, M., Aubry, T., & Marchant, C. (2014). Evaluation of the organizational cultural competence of a community health center: A multi-method approach. Health Promotion Practice, 15(5), 675-684.doi: 10.1177/1524839914532650

  Cherner, R., Aubry, T., Ecker, J., Kerman, N., & Nandlal, J. (2014). Transitioning into the community: Outcomes of a pilot housing program for forensic patients. International Journal of Forensic Mental Health, 13(1), 62-74. doi: 10.1080/14999013.2014.885472

  Cherner, R., & Reissing. E.D. (2013). A comparative study of sexual function and sexual behavior of women with lifelong vaginismus. Archives of Sexual Behavior. 42(8),1605-1614. doi: 10.1007/s10508-013-0111-3

  Cherner, R., Nandlal, J., Ecker, J., Aubry, T., & Pettey, D. (2013). Findings of a formative evaluation of a transitional housing program for forensic patients discharged into the community. Journal of Offender Rehabilitation, 52(3), 157-180. doi: 10.1080/10509674.2012.754826

  Cherner, R., & Reissing, E.D. (2013). A psychophysiological investigation of sexual arousal in women with lifelong vaginismus. Journal of Sexual Medicine, 10(5), 1291-1303. doi: 10.1111/jsm.12102

  Conférences

  Cherner, R., & Reissing, E.D. (September, 2012). There is more to it than intercourse: The sexual difficulties of women with vaginismus. Paper presented at the 39th Annual Meeting of the Canadian Sex Research Forum, Ottawa, Ontario.

  Ecker, J., Cherner, R., Nandlal, J., Aubry, T., & Pettey, D. (May, 2012). Findings of a Formative Evaluation of a Transitional Housing Program for Forensic Patients Discharged into the Community: Established Models, New Population. Poster presented at the Canadian Community Psychology Conference, Waterloo, Ontario.

  Kerman, N., Ecker, J., Cherner, R., Aubry, T., & Pandalangat, N. (May, 2012).Forensic patients no longer: Outcomes of clients in the Transitional Rehabilitation Housing Pilot. Poster presented at the Canadian Community Psychology Conference, Waterloo, Ontario.

  Cherner, R., & Reissing, E. (March, 2012). Sexual function and behaviour of women with lifelong vaginismus. Paper presented at the 37th Annual Meeting of the Society for Sex Therapy and Research, Chicago, United States.

  Jette, J., Aubry, T., Ecker, J., Cherner, R., Siriois-Leclerc, H. (June, 2011). Implementation of a Housing First approach in a rural area in Canada.  Poster presented at the 13th Biennial conference of the Society for Community Research and Action, Chicago, United States.

  Aubry, T., Cherner, R., Ecker, J., & Jette, J. (June, 2011). Implementation of a Housing First program in a small Canadian city. Paper presented at the 13th Biennial conference of the Society for Community Research and Action, Chicago, United States.

  Cherner, R., & Reissing, E. (October, 2010). The sexual health of women with vaginismus. Paper presented at the 37th Annual Meeting of the Canadian Sex Research Forum, Toronto, Canada.

  Cherner, R., Husne Ara, S., Nohra, G., Adan, F., Chibi, A., & Aubry, T. (May, 2010). A formative evaluation of the Civic Participation Training of the City for All Women Initiative. Paper presented at the National Conference on Community Psychology, Ottawa, Canada.

  Cherner, R., & Reissing, E. (October, 2008). The psychophysiology of the sexuality of women with vaginismus: Research proposal. Paper presented at the 35th Annual Meeting of the Canadian Sex Research Forum, Montreal, Canada.

  Burgess, M., Cherner, R., Mitchell, T., & Gruslin, A. (December 2008) Post Graduate Program Evaluation of the CanMEDS Framework at the University of Ottawa: An Innovative Model. Poster presented at the 37th Annual Meeting of the Association for the Professors of Obstetrics and Gynecology of Canada, Toronto, Canada.

  Cherner, R. & Reissing, E. (October, 2008). The Psychophysiology of the Sexuality of Women with Vaginismus: Research Proposal. Paper presented at the 35th Annual Meeting of the Canadian Sex Research Forum, Montreal, Canada.

  Cherner, R. & Reissing, E. (June. 2005). The prevalence rate of sexual dysfunction and client comfort in discussing sexuality in a clinical psychology practice. Poster session presented at the 66th Annual Canadian Psychological Association, Montreal, Canada.

  Cherner, R. & Reissing, E. (October, 2004).  Preliminary findings of a survey of the prevalence of sexual dysfunctions in individuals presenting for non-emergency psychological services. Paper presented at the 31st Annual Meeting of the Canadian Sex Research Forum, Fredericton, Canada.

• Robbins, A.-Rose

  

  Courriel professionnel : aboua102@uOttawa.ca

• Allen, Caroline, P.T.

• Cappeliez, Philippe, Ph.D.

• Henry, Lisa, M.A.

Lisa Henry est sexologue, membre de l'Ordre professionnel des sexologues du Québec et de l'Association des sexologues du Québec (ASQ) depuis 1998. Elle est diplômée de l'Université d'Ottawa (Baccalauréat en Psychologie 1995) et de l'Université du Québec à Montréal (Maîtrise en Sexologie, profil counseling 1998).

Mme Henry enseigne à titre de professeure à temps partiel à l’École de psychologie de l’Université d’Ottawa depuis 1999.   Elle offre, en français et en anglais, les cours de comportement sexuel humain et de psychologie des relations interpersonnelles.

En parallèle avec son travail d'enseignante, elle collabore sur plusieurs projets en pédagogie et offre des services à titre de consultante experte et de conférencière en matière de sexualité dans les milieux académiques et publics.

• Huber, Jonathan, M.D.

Dr. Huber est un chercheur collaborateur du Laboratoire de recherche sur la sexualité humaine. Il est un membre du Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada avec une spécialisation en Obstétrique et Gynécologie, et tient le titre de professeur associé de l’École de médecine du Nord de l’Ontario.

Dr. Huber a gradué d’un double diplôme de premier cycle en Biologie et Psychologie de l’Université d’Ottawa, en 1999. Il a ensuite gradué de la Maîtrise en Science de la sexualité humaine de University of Guelph en 2002 suivi par un Doctorat en Médecine de l’Université Queen’s en 2006. Il a complété sa formation de résidence postdoctorale en Obstétrique et Gynécologie à l’Université Queen’s en 2011.   

Dr. Huber a présentement une pratique clinique en obstétrique et gynécologie générale. Ses intérêts cliniques et de recherches inclus le fonctionnement sexuel féminin, les dysfonctions, et les troubles de douleur génitale. Il siège sur le Forum canadien de recherche sur la sexualité (CSRF, www.csrf.ca) ainsi que sur le Board of Directors of Planned Parenthood Ottawa (PPO, www.ppottawa.ca). De plus, il est membre de la Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC, http://www.sogc.org/index_f.asp) et la Society for the Scientific Study of Sexuality (SSSS, www.sexscience.org).

• MacIntosh, Heather, Ph.D.

• Pelletier, Luc, Ph.D.

• Pukall, Caroline

• Riesen, Eleanor, Ph.D

Professeure et coordinatrice des premières et deuxièmes années du programme de BScN en collaboration entre l'Université d'Ottawa et le Collège Algonquin.

Qu'est-ce que le vaginisme?

Le vaginisme, ou les difficultés éxperimentées lors d'une pénétration vaginale, est un problème frustrant, affligeant la santé sexuelle des femmes. Le vaginisme affecte la jouissance de la sexualité d'une femme, sa qualité de vie, ses relations, et le soin de sa santé gynécologique.

Le vaginisme est défini comme une contraction protectrice de la musculature de l'entrée vaginale qui rend les pénétrations vaginales pendant le sexe, avec un tampon, et/ou pendant les examens gynécologiques, pénibles ou impossibles. Les femmes ayant une condition de vaginisme craignent typiquement la douleur qu'elles associent avec l'entrée vaginale et elles éprouvent un degré d'anxiété significatif associé à la perspective d'insertion vaginale. Quelques femmes souhaitent expressément s'engager dans des relations sexuelles et sont très motivées pour résoudre le problème, pendant que d'autres femmes se sentent plus ambivalentes envers les relations sexuelles. Beaucoup de femmes peuvent apprécier d'autres activités sexuelles si elles savent que la pénétration ne sera pas tentée. Cependant, quelques femmes n'apprécient aucun aspect de touché sexuel.

La cause du vaginisme

Des statistiques fiables au sujet du vaginisme n'existent pas, mais les fournisseurs de soins de santé reconnaissent le problème comme étant plus fréquent que supposé. Les causes du vaginisme ont récemment été objet de recherches plus avancée, mais une augmentation du taux de recherches est clairement nécessaire pour mieux comprendre les causes reliées au vaginisme. Certaines causes identifiées précédemment sont:

• la douleur avec les pénétrations vaginales (relations sexuelles)
• des expériences négatives avec l'insertion vaginale (par ex., les examens médicaux invasifs ou insensibles, l'abus sexuel)
• le manque de connaissance ou l'incertitude envers la sexualité
• des pensées très négatives par rapport au sexe (dégoût, crainte d'incompatibilité génitale)

Comment le vaginisme est-il soigné?

Le traitement du vaginisme a été traditionnellement fixé sur la désensibilisation progressive à la pénétration vaginale. Malgré le fait que certaines études demontrent de très bons résultats, une étude récente et riguoureuse démontre des résultats très conservateurs avec seulement 1/3 des femmes ayant résolu leur état de vaginisme, suite aux traitements. Cependant, les nouvelles approches innovatrices sont prometteuses. Par exemple, travaillant avec un/e psychologue spécialisé dans le domaine de la sexualité ou un/e thérapeute sexuel/le en collaboration avec une thérapeute physique de plancher pelvien peut considérablement améliorer les résultats du traitement. De même, des études récentes effectuées dans les Pays-Bas indiquent que traiter le vaginisme comme une phobie spécifique (comme la phobie des araignées, etc.) avec la thérapie d'exposition avait des avantages significatifs pour la majorité des femmes. Une liste des références de professionnels de santé.

Qu'est-ce que la vulvodynie?

Vulvodynie est une douleur chronique ou périodique localisée à l'entrée vaginale ou dans le secteur de la vulve. Généralement deux sous-catégories majeures sont identifiées:

1. Vulvodynie Provoquée (alias Syndrome de la Vestibulite Vulvaire): la douleur est localisée à l'entrée vaginale (le vestibule) et est déclenchée par le toucher, la friction, ou la pression (par ex., avec l'insertion de tampon, les relations sexuelles, etc.)
2. Vulvodynie Généralisée (alias Dysesthetic): la douleur est dans divers secteurs de la vulve. La douleur est généralement chronique, mais la pression ou la friction peut aggraver la douleur.

Les symptômes physiques de la vulvodynie sont typiquement la douleur qui brûle et pique, et une sensation d'écorchure dans la vulve et le vestibule. La douleur est aggravée par les relations sexuelles ou par une position assise prolongée. Les femmes peuvent aussi éprouver la douleur et l'irritation avec la miction.

Quels sont les causes de la vulvodynie?

Les femmes souffrant de la vulvodynie peuvent démontrer des signes de rougeur dans les tissus de la vulve, laquelle peut également être enflammé, ou la vulve peut apparaître normale. Ceci est problématique pour les femmes et beaucoup reçoivent un diagnostique erroné. Une discussion prudente de l'histoire des symptômes (par ex., Où est la douleur? Quand commence-t-elle? Comment la décrire? Quels traitements ont échoués?, etc.) peut aider à atteindre un diagnostique correct et approprié en référence aux traitements. La vulvodynie provoquée peut aussi être confirmée par la palpation de la vulve et de l'entrée vaginale pour déterminer l'emplacement de la douleur dans le secteur vestibulaire. Les risques d'infections actives ou de désordres de la peau (par ex., dermatoses) ont besoin d'être soigneusement éliminés au préalable.

La vulvodynie n'est pas causée par une infection active et n'est pas une maladie transmise sexuellement. Ce qui cause la vulvodynie reste encore spéculatif. Cependant, les chercheurs ont identifié plusieurs causes possibles:

• Une blessure ou l'irritation des nerfs qui fournissent la sensation à la vulve.
• L'infection ou le traumatisme passé au plancher pelvien (par ex.: chute, abus sexuel, réactions allergiques chroniques) lesquels peuvent causer des changements anormaux dans les cellules de la vulve.
• Les problèmes du plancher pelvien tels que manque de contrôle par-dessus la contraction et surtout la détente.

Comment la vulvodynie est-elle traitée?

La vulvodynie est une condition douloureuse qui affecte significativement la sexualité et la qualité de vie. Une approche multi-disciplinaire est habituellement efficace pour la plupart des femmes. Le traitement peut impliquer la consultation avec un/e gynécologue, un/e dermatologue, un/e neurologue de même qu'un/e psychologue pour la gestion de la douleur et la thérapie sexuelle, et un thérapeute physique pour la réhabilitation du plancher pelvien. Beaucoup d'experts croient qu'une combinaison de gestion de la douleur, de thérapie sexuelle, et de thérapie du plancher pelvien peut être la plus avantageuse. Les femmes souffrant de vulvodynie généralisée profitent aussi de faibles doses de médicaments antidépresseurs tricycliques et de gabapentin (un médicament donné pour les douleurs neuropathiques). La vestibulite vulvaire peut être traitée aussi via la chirurgie vestibulaire. Veuillez appuyer ici pour une liste de références professionnelles.

Quelques conseils pour diminuer la douleur - ne sous-estimez pas la valeur d'un traitement conservateur (!)

• Porter seulement des sous-vêtements blancs à 100% coton; éviter les protège-dessous.
• Éviter les vêtement sérrés et les vêtements en spandex/lycra.
• Essayer de ne pas porter de sous-vêtements lorsque possible (par ex., la nuit).
• Éviter le contact de la vulve avec les huiles de bain ou les produits parfumés.
• Éviter l'utilisation des produits chimiques irritants et les savons dans la région de la vulve (lavage avec de l'eau chaude seulement).
• Essayer l'utilisation de détergents hypoallergiques (par ex., Ivory Neige) et éviter totalement les feuilles d'assouplissant textile.
• Ne jamais utiliser les produits vulvovaginals en vente libre (par ex., les douches, les traitements levure [demander des médicaments oraux tels que Diflucan]).
• Utiliser des lubrifiants solubles ou de l'huile végétal pur pendant l'activité sexuelle (vous pouvez essayer de différentes produits pour trouver un lubrifiant non-irritant qui est efficace pour vous).
• Les compresses froides peuvent calmer la douleur de la vulvodynie.
• Une baume anesthésique local (i.e., crème EMLA) peut aider à calmer la douleur.
• Si votre vulve est sèche et démangeante, obtenir une prescription ou demander a votre pharmacien de préparer la crème Magistrale: 10GM Glycérine, 50GM d'eau distillée, 40GM Aquaphor.

Pour en connaître plus sur la vulvodynie

• National Vulvodynia Association
• Vulvodynia.Com

Pour plus de liens sur internet.