Nouvelle parution : publication de Louise Fines
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Patrick Fafard est professeur titulaire à l’École d'affaires publiques et internationales et à...
Les professeures Christina Clark-Kazak, Irene Vitoroulis et Karine Vanthuyne, toutes réputées pour...
Grâce au soutien de la professeure Vanthuyne, le projet de recherche Wìdòkodàdodà (Construire...
L’impact de la pandémie sur les communautés autochtones
Rébecca Robillard, chercheuse en santé et récipiendaire d’une subvention des IRSC, se penchera sur l’impact de la pandémie sur les communautés autochtones
L’honorable Patty Hajdu, ministre de la Santé du Canada, a annoncé le 12 mars un investissement de 25,2 millions de dollars pour 52 projets de recherche en lien avec la COVID-19 qui examineront les lacunes et les répercussions négatives sur les personnes, les communautés, et les systèmes de santé. Rébecca Robillard, chercheuse en santé et professeure à l’école de psychologie de la Faculté des sciences sociales, est récipiendaire d’une subvention de fonctionnement des Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) dans le cadre du programme « Lacunes et priorités dans la recherche sur la COVID-19». Dirigé par le Ottawa Aboriginal Coalition en collaboration avec des représentants des patients autochtones et une équipe de recherche interdisciplinaire, ce projet se penchera sur l’impact de la pandémie sur la santé physique et mentale des autochtones au Canada.
Ottawa Aboriginal Coalition
La professeure Robillard, championne de la priorité de recherche sur la Santé et le développement humain, se prononce sur l’importance de pallier les lacunes des soins de la santé dans les communautés autochtones : « La pandémie de la COVID-19 a eu un impact profond sur la santé mentale et physique des individus du monde entier. Des inquiétudes ont été soulevées quant aux impacts démesurés, directs et indirects, sur la santé autochtone. Dans l'ensemble, la pandémie modifie des aspects fondamentaux de la vie des personnes autochtones d'une manière unique et complexe. Cela aura probablement des conséquences immédiates et à plus long terme sur la santé autochtone. Il est essentiel de recueillir rapidement des informations sur les multiples facettes de l'impact de la pandémie ainsi que les grandes forces dont ont fait preuve les communautés autochtones, afin d'élaborer des réponses adaptées pour mieux les aider à traverser cette crise et à s’en remettre.»
La Faculté des sciences sociales appuie l’autochtonisation à uOttawa. Nous cherchons à renforcer cette orientation au sein de la Faculté en appuyant la recherche autochtone et en faisant la promotion de ses modes de savoirs par le travail effectué par notre communauté de recherche.
Professeure Robillard
Collabzium